Selfbondage Enema diaper pour une Little abandonnée

 

Elle avait décidé de le faire un jour, elle se l’était jurée. Juste une fois au moins pour voir. Juste une fois pour goûter la délicieuse honte de n’avoir pas eu d’autre choix que se laisser aller. La couche, elle l’utilisait déjà plus ou moins pendant la période de ses menstrues. Il lui arrivait d’en mettre une quand elle faisait un selfbondage de longue durée, mais  plus au cas où qu’autre chose.

 

Cette décision fut prise après une torride séance de six heures qui fut gâchée à la fin quand elle avait craqué et trempé son lit jusqu’au matelas. Changer intégralement son lit, tourner le matelas qui garderait ad vitam æternam la trace de ses bêtises. Tout passer à la machine à laver et aller à la laverie pour utiliser le sèche linge alors qu’il neigeait dru ce jour là. Tout cela calme et impose la prudence. 

 

Lorsqu’elle se laissait aller comme une petite fille pendant sa période de régression, son daddy lui en imposait parfois une. Elle n’aimait pas vraiment, mais reconnaissait en secret, que ce n’était pas si désagréable que ça..... Puis son daddy était parti, l’avait abandonnée pour se mettre en ménage avec une blondasse. Son coeur avait beaucoup saigné, ses yeux pleuré de désespoir. La vie continua sans daddy et sa période de régression s’était calmée.

 

Ses envies de régression refuge s’étaient pas totalement effacée, son doudou dormait toujours avec elle, il lui arrivait de boire son café au biberon le matin dans son dodo où, dans sa grenouillère elle s’abandonnait dans une couche en écoutant de la musique sur son téléphone. Mais, elle ne le faisait plus que les dimanches d’hiver quand il était dangereux de prendre la route, voir impossible, avant que le chasse neige ne soit passé.

 

Depuis qu’elle avait été abandonnée, Marie s’adonnait à d’autre jeux de « grande » avec des sextoys et du selfbondage. Là au moins, en jouant seule, elle ne serait plus déçue, plus abandonnée. Ses deux tentatives avec un daddydom avaient été des échecs cuisants, pas à cause des fessées mais parce que les deux fois, après lui avoir claqué les fesses, ils avaient voulu « la sauter ». Depuis elle se faisait ses petits films érotiques en s’imposant des tenues de petite fille, ou de prostituée en passant devant souvent le miroir ou de soumise pendant des week-ends entiers.

 

A chaque fois, elle se faisait des trames écrites à partir d’idées prises sur le net et les réalisait en essayant de coller à son scénario. Là ou elle prenait le plus d’idée de scénario c’était sur Fessestivites et ABCplaisir dans les rubriques deselfbondage. Les trames étaient pour elle d’excitantes sources d’inspiration. Dans les histoires érotiques BDSM pas trop dures, elle se plaisait à rêver d’être la victime, enlevée et laissée attachée pendant des heures. Parfois les ravisseurs venaient lui faire des choses, mais ça, cela n’arrivait que quand Marie utilisait ses copains vibrants. Cela aide bien à se faire des films.

 

Marie avait décidé de le faire un jour et ce jour était arrivé. Tout avait été soigneusement préparé comme sur du papier millimétré.

 

Dès le matin, elle s’imposa donc de ne boire qu’au biberon, trois minimum avant de se lancer. Elle avait ressorti ses tenues de little et choisi la jupette et le body rose. Juste après sa douche, elle s’était mise en couche. Deux pour être plus précis, ceux changes complets Northshore -megamax-pink l’une sur l’autre. Elle avait percée la premier pour doubler la quantité absorbable et surtout, s’obliger à marcher avec les cuisses écartées comme un bébé.

 

La poche à lavement vintage, 1,2 litres fut suspendue au crochet du lustre au dessus de son lit. Aux pieds du lit, elle avait attaché des bracelets de cheville pour s’obliger à garder les jambes écartées. Pour les cuisses, elle avait prévu une ceinture sur chaque avec un cliquet de corde de chaque côté. Ainsi, jambes et cuisses maintenues écartées, elle ne pourrait rien faire pour s’échapper et fuir le lavement, qu’elle imaginait déjà, maudis.

 

Pour s’interdire le plus de mouvement possible, au niveau de son buste elle avait prévue deux sangles. Placées l’une d’un côté la deuxième de l’autre, elle serait parfaitement fixée dans le lit. Pour ses bras ils seraient attachés en V par des chaînettes fixées à la tête du lit. D’un côté une paire de menottes dont les clés étaient posées sur la table de nuit, et pour l’autre, un bracelet de bondage cadenassé à la serrure de glace d’ABCplaisir, le modèle prévu pour rester fermé 4 heures. 

 

Pour s’obliger à se sentir encore plus petite fille, elle devait garder sa tétine. Pour ça, elle avait prévu de se mettre la cagoule d’isolation. Mais comme la petite fille est une grosse coquine, elle avait décidé de tricher un peu et de s’accorder du plaisir avant la honte. Le magic wand massager et le petit vibro seraient ses compagnons de chambre.

 

Tout était prêt, il ne lui restait plus que le dernier biberon d’eau à finir quand elle a commencé à douter de son courage. A douter de ses capacités à oser faire ça avec un lavement que, de toute évidence, elle ne pourrait pas garder 4 heures. Son daddy avait essayé de la convaincre à faire popo couche, elle avait toujours refusé. Mais là, c’était différent, elle voulait faire ça une fois pour voir, comme pour s’auto punir d’une faute grave.

 

Pour se donner du courage, arrivé à la moitié du dernier biberon, Marie décida de tricher un peu. Elle le vida et se fit une demi biberon de vodka Tagada avec du coca. Bue rapidement, ce type de biberon monte vite à la tête et donne vite chaud. Ses neurones soudainement moins « peureuses » se mirent en route à la vue de ses copains les sextoys sagement alignés sur la table de nuit. 

 

Tout étant prêt à être utilisé, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour s’entraver après avoir décroché le tube du bocal à lavement. Chaude comme la braise, après avoir glissé la canule dans ses petites fesses, à l’aide des cliquets de corde les cuisses fuselées de Marie ont été écartées. Le vibro trouva sa place en elle sans problème, préparer et regarder son matériel de selfbondage l’avait grandement excitée. Le magic fut introduit entre la culotte en plastique et les deux couches avant qu’elle ne s’allonge pour se mettre les sangles qui l’obligeraient à restée plaqué au lit mais aussi lui interdiraient tout mouvement latéraux. 

 

Après avoir pris sa tétine, elle enfila la cagoule d’isolation rose qu’elle adore, puis elle menotta son poignet gauche. Le doute revient avec la peur juste au moment où elle posa sa main sur le régulateur d’eau posé sur le tube du bocal à lavement. « Allez ma grande, cette fois tu dois y passer, t’as pas le choix ». La dernière ligne droite fut malgré tout difficile pour Marie, le doute et la raison s’opposaient à la fermeture du dernier cadenas sur la serrure de glace d’ABCplaisir.


« Ca y est, c’est fait ma grande » s’est dit Marie une fois le cadenas fermé. Son premier réflexe fut, comme toujours, de vérifier ses entraves, de voir si elle pouvait s’échapper. En vain, elles étaient solides et l’obligeraient à aller au bout de l’aventure.

 

Mâchouillant sa tétine, elle commença à se concentrer sur les agréables vibrations intimes de ses copains les sextoys. Soudain, elle commença à sentir les effets du lavement dans ses fesses et son ventre. Réglée pour que cela n’aille pas trop vite, l’eau s’écoulait très lentement. Elle eut comme une petite crampe dans le ventre, et par réflexe voulu bouger. En vain, les sangles lui bloquait le buste, et ayant trop tiré sur les cliquets de corde, bouger les cuisses lui était même impossible à cause des cliquets de corde. La tétine innocente fut mordue un moment quand la crampe passa.

 

Son esprit put revenir à un sujet plus agréable, le dialogue avec ses copains les sextoys. « Je n’arriverai pas à jouir, deux couches cela absorbe trop les vibrations, même d’un magic wand massager puissance dix » dut se résoudre à admettre Marie ultra excitée. Entre les vibrations en bas et les biberons absorbés, le pipi couche fut agréable jusqu’au moment où, elle comprit que lâcher la vessie se répercutait sur ses sphincters anaux. « Et zut, je n’avais pas pensé à ça » se dit Marie en colère après elle. UN ne pas pouvoir jouir, DEUX ne pas pouvoir apprécier le pipi couche, TROIS souffrir de la vessie, zut zut et re zut, ce scénario n’est pas top » pensa Marie furieuse.

 

Marie commença à se demander s’il restait encore beaucoup d’eau dans la poche à lavement suspendue au plafond quand, dans son ventre, cela commença à devenir tendu. Pour l’instant, en gardant les fesses serrées, elle pouvait le contenir sans trop de souci, mais pour combien de temps ? En plus, ses copains les sextoys commençaient à harceler grandement sa vessie prête à exploser.

 

L’excitation prit le dessus, être ainsi entravée sans possibilité de fuite lui permettait de se sentir de plus en plus « victime ». Les désagréments prenaient une toute autre couleur. Tout en sachant que cela ne servirait à rien, elle essaya de crier « à l’aide » dans sa goule et malgré la tétine. Quand elle sentit que sa vessie allait lâcher et se mit à prier pour que ses fesses résistent encore un peu. Erreur fatale, Marie aurait du faire de tous petits pipis dès le début. Commencer de soulager sa vessie, juste un peu, fut impossible. ET ZUT.... cria presque Marie en se lâchant. Cela fit l’effet d’un tsunami dans les couches, les deux changes complets Northshore -megamax-pink ne furent pas de trop pour amortir le raz de marée.

 

Tous ces flux et la chaleur sur l’intimité firent cause commune avec le soulagement et le harcèlement des sextoys. Marie fut réellement surprise de se mettre à jouir, cette jouissance, elle ne l’avait pas senti venir. « Orgasmer » entravée est toujours jouissif, mais là, ce fut comme si elle implosait. Ravagée de contractions, elle se débattait dans ses entraves, son anus palpitant laissait passer des flux se répercutant sur le sextoy toujours vibrant et logé dans son chaton. Agitée de puissantes contractions incontrôlables, elle ne pouvait que crier dans sa cagoule.

 

Même après le passage du tsunami, elle avait encore de petites contractions bizarres dans tous les corps. Un peu comme les derniers soubresauts d’un mourant. Écartelée sur son lit, Marie haletait dans sa cagoule en ruisselant de transpiration. Il lui fallut un bon quart d’heure pour se remettre. Et malgré ça, ses copains les sextoys ne la laissaient pas tranquille. Elle ne put jouir une seconde fois, mais son excitation fut encore entretenue un moment. Dans sa tête, elle était réellement une victime, on lui faisait des choses qu’elle ne voyait pas, qu’elle ne comprenait pas. En clair, elle plana dans un autre monde pendant un moment avant de s’endormir.

 

Le réveil fut plus délicat, même après des rêves érotiques. La serrure de glace de quatre heures était fidèle à son poste. Les copains vibrants épuisés et sans énergie, s’étaient arrêtés, son seul plaisir fut de soulager sa vessie. Le temps passa, entre sommeil réel, et demi sommeil, quand, en voulant se tourner dans un mouvement de réflexe son poignet fut libéré.

 

« Alléluia » cria Marie en mâchouillant sa tétine. En allant trop vite pour attraper les clés des menottes posées sur sa table de nuit, elle les fit tomber. Et quand elle voulut se pencher pour les attraper, les sangles et entraves lui rappelèrent d’un commun accord que cela lui était interdit. Rageuse elle put retirer sa cagoule et enfin respirer un peu d’air frais. « Pas si frais que ça » se dit marie en sentant le parfum de sa chambre. Pour se libérer, elle n’eut pas d’autre choix que de s’asseoir ce qui eut des effets dégoûtants dans sa couche.

 

Une heure après la douche puis le grand nettoyage et ses fenêtres ouvertes malgré la neige, la petite se fit un grand biberon de café bien chaud. Encore épuisée elle reprit ses habitudes de little, une couche, un bib et au lit avec sa grenouillère. Son daddy pervers étaient partis, les ravisseurs aussi, elle pouvait câliner tranquille avec son doudou en lui racontant ses folies.

 

En effet, quand elle joue avec elle même, Marie le protège de la vue de ces choses en l’enfermant dans son placard. Un peu comme une sorte de contrôle parental de doudou.

 

Fin

 

TSM              

 


Si vous aussi vous écrivez des histoires érotiques,  n'hésitez pas à les poster sur Fessestivites.
C'est gratuit !