Jeu de selfbondage en couple

Une petite histoire érotique à découvrir pour vous donner des idées.

Léa et Paul sont en couple depuis presque toujours. Il faut dire que dans leur village de 1500 habitants, il n’y avait qu’une école, qu’un autobus pour aller au collège et au lycée. Amis depuis toujours, ils ont grandi ensemble et un jour, quand les corps commencent à travailler la jeunesse, ils se sont rapprochés intimement. Paul a repris la petite entreprise familiale, Léa y a évidement été embauchée.

Pendant leurs vacances à Paris, pour s’échauffer les sens, ils sont allés dans un club BDSM pour voir ce qu’il s’y passe. Ce soir là, était dédié au shibari, deux grands noms du monde des cordes y faisait des démonstrations. Cela leur a plu à tous les deux, même si, dans leur couple, il n’y a ni maître ni soumise. La domination, ne les amuse pas, le bondage par contre les excite tous les deux.

Léa avait toujours fantasmé à l’idée d’être attachée et lisait souvent sur Fessestivites des histoires remplies de demoiselles en détresse. Elle appréciait également les livres sur ces sujets en s’imaginant souvent à la place de la demoiselle. Paradoxalement, Paul aussi mais avait eu beaucoup de mal à l’avouer à sa chérie, la peur que sa masculinité soit affectée l’avait freiné. Et puis un jour, au hasard de ses surfs coquins, Léa a découvert des histoires de selfbondage. Cela lui a donné des idées et l’envie de creuser le sujet.

Lors d’un week-end, ils venaient de s’entraîner à faire du shibari. Paul était parvenu à lui faire une suspension, et, une fois en l’air, la belle avait du « subir » des bisous d’amoureux et quelques caresses. Lorsqu’ils ont échangé les rôles, passant ainsi de l’attacheur à l’attaché, Léa s’était vengée. Son pauvre mari solidement shibarisé avait vu sa culotte baissée et son sexe titillé. Juste titillé, avec un début de fellation, quelques griffures avant d’être abandonné avec son désir de plus.

– Si tu arrives à te détacher, tu as le droit de venir me faire l’amour sauvagement, et, si tu n’y arrives pas, je te libèrerai mais moi seule aurait droit au plaisir ! Lui avait dit Léa en le taquinant.

Voilà donc le BDSM pratiqué par nos tourtereaux, rien de bien méchant, des cordes, des entraves et des bisous. Ce jeu les amusant, il fut reproduit de nombreuses fois en les entraînant à aller toujours plus loin dans les bondages.

C’est Léa qui ouvrit le bal de « l’abandon » en utilisant les techniques du selfbondage un dimanche. La nouveauté du jeu consistait à l’usage d’une paire de menottes achetées sur ABCplaisir après avoir acheté ailleurs, un modèle nul qui s’ouvre sans clé, autant ne pas en utiliser ! Le pauvre Paul souffrait d’une grande excitation dans ses entraves. Couché sur le ventre avec ses jambes repliées, chaque fois qu’il bougeait, ses mouvements se reportaient sur sa verge. Léa lui avait posé les menottes mains dans le dos, après les avoir bloquées avec des cordes. Elle s’était ensuite amusée à transformer son slip en string avant de griffer les fesses blanches et de lui faire des chatouilles. A la suite de quoi, elle lui avait annoncé qu’elle allait se balader et que les clés des menottes étaient posées par terre dans l’entrée.

Elle a réellement osé l’abandonner dans cette position délicate après avoir glissé leur petit vibromasseur dans la poche du slip de Paul. Le pauvre homme, enlevé par une sadique avait du ramper, transpirer pour se libérer et, changer de sous-vêtement, pour cause d’éjaculation non contenue. A son retour 4 heures plus tard, Léa fut kidnappée, attachée et même un peu fessée. Au rien de bien méchant, juste de quoi échauffer les sens. Selon le même principe, elle se retrouva entravée dans leur chambre avec le vibromasseur bloqué dans son petit chat. Elle dut ramper jusqu’aux pieds de son chéri pour récupérer les clés de menottes. La voir ramper à moitié nue lui donna de sérieuses envies, la belle fut v i o l é e. Comme vous vous en doutez, elle ne porta pas plainte.

Au contraire, être prise attachée décupla son plaisir et lui donna des envies de recommencer. Dans leur couple, le plus coquin des deux c’est elle. Elle étudia encore les principes d’auto libération du selfbondage avec une idée en tête : s’offrir à son mari. Pour son anniversaire, elle quitta donc l’entreprise familiale plus tôt pour « raisons privées ». Paul se doutait évidement au regard amusé de sa femme, que c’était pour lui préparer une petite fête. Il était loin de se douter de ce qui l’attendait !

Arrivée chez eux, elle sortit leur matériel de bondage. Elle poussa le canapé de façon à ce qu’il soit au milieu du salon. A ses pieds, Léa fixa des cordes reliées aux bracelets de cheville pour s’obliger à rester jambes écartées et surtout, bien offerte. A l’aide d’une autre corde, elle fixa les menottes sur l’assise du canapé de façon à être obligée de rester penchée en avant fesses bien tendues.

 

Dans l’entrée, sur une chaise orientée vers la porte, elle déposa un papier décoré à la main avec des fleurs. Sur ce papier il était indiqué « Ton cadeau est dans le salon, tous ses orifices sont à ta disposition et à prendre sans modération, comme le champagne ».

L’emballage du « cadeau » fut aussi très soigné avec des bas résilles noirs, une jolie petite culotte fendue laissant apparaître un rosebud en bonne place. Pour le haut, elle avait mis une sorte de brassière transparente très sexy s’attachant autour du cou. Autant dire qu’avec ces sous-vêtements, la belle était très attrayante…..

En voyant l’heure tourner, elle dut précipiter un peu les choses pour que le « cadeau » soit prêt. Le Ice-timer fut posé sur la table basse avec sa ficelle attachée aux menottes. Le seau à champagne rempli de glaçon et les fluttes étaient prêts. Léa mit un bâillon bouche ouverte, avant d’attacher ses jambes bien écartées et de se mettre un bandeau sur ses yeux. A la suite de quoi, elle referma les menottes sur ses poignets.

L’attente dura plus que prévu, par gentillesse, Paul tarda un peu à rentrer pour ne pas gâcher la surprise qu’elle devait lui préparer. Léa commença donc à trouver le temps long et à regretter de ne pas avoir inséré leur vibro dans son petit chat. Malgré cette attente, elle fantasma sur des choses encore plus coquines comme des cambrioleurs…. assoiffés de sexe évidement. Si bien que le bruit de la porte d’entrée la fit sursauter.

Après avoir lu le papier, Paul entra silencieusement dans la salon et découvrit son cadeau. Il en fut très ému car il fit une autre lecture de : « tous ses orifices sont à ta disposition et à prendre sans modération ». Pour lui, elle lui offrait sa dernière virginité. Il apprécia aussi grandement la tenue choisie par sa femme, qui, en soulignant ainsi sa beauté naturelle, se rendait irrésistible. Il se pressa de prendre une douche avant de venir profiter de son « cadeau ». Le premier des orifices qu’il prit fut la bouche à travers le bâillon. Pour bien rentrer dans le jeu de sa femme s’offrant aussi comme « victime » il attrapa sa tête par les cheveux pour lui « baiser » la bouche sans ménagement.

A la suite de quoi, en se délectant de la vue, il contourna le canapé pour venir glisser son membre turgescent dans le chaton détrempé. En entendant sa propriétaire « chanter » de bonheur, Paul eut bien du mal à se contenir pour pouvoir prendre « son dernier cadeau ». Il retira le rosbud tout en faisant quelques mouvements comme pour dire au chat qu’il était désolé de l’abandonné. La prise de la bastille, la pastille pardon, donna soudain une autre mélodie, c’est un peu comme si le disc-jockey changeait de style.

Léa couina dans son bâillon, quand il f o r ç a la petite porte qu’elle lui avait offerte par erreur. Par chance, elle était très excitée, avoir été prise avec le rosebud dans les fesses avait un peu préparé « le passage ». Elle goûta sa première sodomie avec un certain mécontentement qui ne dura pas. Jamais au grand jamais elle ne s’était sentie aussi « pleine », prise, possédée. En bavant lamentablement sur le canapé, elle commença à chanter la mélodie du bonheur ce qui, encouragea le tyran à s’agripper aux jolies hanches pour passer au grand galop.

Pris de convulsions orgasmiques, tout le corps de Léa se mit à trembler, elle crut même défaillir tant le plaisir était intense. Après avoir joui au creux de ses reins, épuisé, Paul se coucha sur elle. Lorsque ses mains vinrent caresser les tétons turgescents la belle fut prise à nouveau de convulsions. En deux mouvements de reins, malgré sa verge commençant à faiblir, il parvint à la faire à nouveau jouir. C’est donc pour cause d’incompréhension que la belle découvrit ce soir là le plaisir de la sodomie. 

Libérée pour bonne conduite, elle put enfin se redresser puis retirer son bâillon pour sauter au cou de son chéri.

EPILOGUE

Malgré tout le bonheur éprouvé suite à cette incompréhension, Léa décida en secret qu’il n’y avait pas de raison qu’il n’y ait qu’elle qui offre son dernier pucelage. Mais ça, c’est une autre histoire que je ne peux vous raconter, Paul trop pudique ne m’y autorise pas.

Fin

TSM

Conclusion de cette histoire courte :

Il n’y a pas besoin d’être Maître / Maîtresse / soumis ou soumise pour apprécier les plaisirs des jeux de contrainte. S’abandonner attaché aux envies amoureuses de son ou sa chéri(e) est un autre plaisir que la fusion des corps enlacés. Essayez, vous n’en mourrez pas. 

 

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